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Marcolino s'entraîne tous les jours au piano selon la volonté de sa mère pour devenir un célèbre pianiste. Mais il préfère rêver qu'un jour il sera champion de karaté, pompier, magicien, pirate, fou du volant. Il se demande même à quoi pouvait bien rêver sa mère quand elle avait son âge.

Depuis qu'il est petit, Ray se bat tout le temps. La cole`re le submerge. Il trouve que le monde est me©chant. Est-ce parce qu'il est pauvre ? Noir ? Que son pe`re est parti ? Au colle`ge, cÐ a ne s'arrange pas. Ray est sans arre^t puni. Jusqu'a` l'arrive©e d'un nouveau proviseur qui, au lieu de le punir, lui propose de se battre contre lui. En garde ! Puis de devenir boxeur. Une perspective s'ouvre... Mais pour commencer, RV au stade. Car Ray va devoir d'abord travailler son souffle. Allez, Ray, cours ! Le proviseur entrai^ne ainsi le garcÐ on de fausse piste en fausse piste, le sortant de sa posture victimaire jusqu'a` le re©concilier avec lui-me^me et lui permettre de trouver sa propre voie, en toute se©re©nite©. Un destin qui ne sera pas celui auquel il s'attendait - et le lecteur non plus d'ailleurs, comme dans les meilleurs livres de Davide Cali ! Le retournement final serre la gorge...

Amadeo est conducteur de tram à Lisbonne. Dans son magnifique Eléctrico 28, c'est le bonheur. On se presse pour monter à bord du joyeux tram jaune et se joindre à la fœte. Ca monte, ça descend, ça zigzague... Un simple trajet se transforme en un voyage plein de surprises... et de bisous ! Amadeo y est sûrement pour quelque chose...

C'est la plus belle, la plus rapide, la préférée des jolies filles. Jacques en rêve toutes les nuits. Le seul hic, c'est qu'il n'en a pas les moyens..

Faire les équipes avant de démarrer un jeu collectif : on a tous connu ça ! Vu par Davide Cali, ça donne plutôt un jeu de massacre, avec un capitaine autoritaire et intraitable en forme de carré vert, qui procède par élimination : pour commencer, pas de roses, pas de violets, pas de bleus. Et puis pas de triangles, pas de ronds, ni de bizarres, ni de gribouillis. à chaque page, disparaissent ainsi une partie des éléments géométriques et/ou colorés de la page précédente. Jusqu'à ce qu'il ne reste plus que des carrés verts. Les plus petits ou plus gros que notre capitaine sont à leur tour refusés. Plus que trois derniers carrés verts. « Enfin on a une équipe ! » s'écrie le capitaine. Mais soudain, il s'aperçoit que ce n'est pas le même vert que lui ! Dehors les trois derniers. Et voilà notre carré vert tout seul. éberlué : «Hé, les copains ! Personne ne veut jouer avec moi ? » Tu m'étonnes...

Ashley et Joyce sont hébergés chez leurs étranges oncle Marcus et tante Zelda à la suite du décès de leurs parents, archéologues, dans un accident d'avion. Ils reçoivent un colis préparé par leur mère avant sa mort, composé de cinq statuettes et d'un mot qui mentionne que chaque chose doit être à sa place.

Un garçon montre son école à une camarade de classe nouvellement arrivée.

Un album humoristique qui démontre que les adultes ne font jamais de bêtises, ne sont pas en retard, ne disent pas de gros mots ou encore qu'ils ne sont pas jaloux, ou presque.